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Assurance - Cancer

Le 13 janvier 2019, Radio-Canada a publié un article intitulé «Je me sens comme trompé, arnaqué» qui dénonce certains problèmes comme la lisibilité des contrats d’assurances maladie graves dues à l’emploi d’un langage juridico-médical trop complexe.


Deux personnes ont été invitées à témoigner de leur expérience avec ce type de protection financière après la tombée d’un diagnostic de maladie importante. Ils n’ont pas réussi à obtenir une prestation malgré qu’ils se pensaient tous les deux à l’abri financiers, justement contre ce genre d’imprévu.

Selon une étude de Munich Re, il y a eu presque 1 500 réclamations en assurances maladie graves au Canada en 2009. La prestation moyenne était de 79 000 $. L’âge moyen des réclamants était de 49 ans chez les hommes et de 47 ans chez les femmes. Pour 20 % des cas, le refus faisait suite à une fausse déclaration.


Selon un sondage Léger mené pour la Chambre de la Sécurité Financière (CSF) au printemps 2018, 80 % des Québécois ne lisent pas leurs contrats d’assurance ou le font seulement en partie.


Les contrats d’assurance maladie grave émis par la majorité des assureurs ont pour la plupart un langage uniforme, alors ils couvrent les titulaires en cas de diagnostic de l’une ou l’autre des problématiques de santé énoncées dans le contrat, rien de plus et rien de moins.


Depuis 2018, certaines compagnies comme Humania Assurances, ont inventé un contrat d’assurance cancer qui est facile à lire et à comprendre, alors on n’a plus besoin d’être un professionnel du droit ou être un professionnel de la santé pour comprendre le contrat.


En bref, la majorité des nouvelles polices d’assurance prévoit verser la somme maximale (100 %) prévue si un cancer menace la vie de l’assuré et 15 % de la somme maximale prévue pour tout cancer mineur, sans que le contrat soit annulé ! La balance de la prestation demeure disponible si un nouveau cancer était diagnostiqué.


Plusieurs autres assureurs, comme Desjardins Assurances, offrent à présent des protections similaires. Consulter un conseiller en sécurité financière autonome qui fait affaire avec plusieurs assureurs, il vous guidera vers les protections qui seront les plus récentes et qui seront adaptés à la fois à vos préoccupations et vos objectifs.


Si vous demandez: « À quoi bon d’avoir une telle couverture? »

Je vous dirais que si on perçoit la vie comme une course automobile, au départ on ne pense pas beaucoup à nos freins, mais plus la ligne d’arrivée approche, plus ils deviendront importants ! C’est pourquoi, une protection financière en cas de cancer ou de crise cardiaque devrait être planifiée en fonction de vous éviter une faillite et protéger votre épargne de retraite en cas de diagnostic.


Les chances d’avoir l’un ou l’autre sont très élevées, beaucoup plus qu’un décès prématuré

ou même un accident au travail !

D’autant plus, si vous pensez que le système de santé publique payera vos comptes ou les médicaments non couverts par celle-ci ou la préparation de vos repas ou des frais de transports et stationnements ou de garderie ou du rehaussement de votre chambre d’hôpital ou des soins à domicile ou des pertes de votre entreprise advenant votre absence soudaine et sans choix, etc.

Détrompez-vous ! Pensez à protéger votre revenu annuel net d’au moins une année, même si vous avez déjà une assurance salaire. Pensez à votre santé financière et celle de vos proches, la technologie a rendu ça simple, facile et rapide ! Il n’y a plus d’excuses et votre bilan vous remerciera !
 

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